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    Les enfants sont allés visiter le musée cantonal des beaux arts de Lausanne. Outre les oeuvres magnifiques de grands artistes, une exposition qui propose de découvrir des oeuvres immersives à travers divers environnements 

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Entrée du Musée

     

     

    Giacometti Grande femme III, 1960

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Rodin L'homme au serpent 1887

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Paul Klee  Am Nil, 1939

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Alexandre Calame. Le lac de Brienz 1843

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Eugène Burnand Taureau dans les alpes 1883

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Julian Charrière Pacific fiction 1984

     

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Giuseppe Penone A occhi chiusi, 2018

     

     

    Expo Immersion. Les origines: 1949-1969

    L’exposition organisée au Musée cantonal des Beaux-Arts est la première à retracer l’émergence de l’art immersif entre 1949 et 1969, période caractérisée par l’expansion spatiale et une volonté de dépassement des catégories traditionnelles de l’œuvre d’art. Instaurant une rupture avec le quotidien, les environnements à l’échelle d’une salle tout entière proposent une réalité alternative dans laquelle le public se trouve immergé à 360°.

    Le terme «immersion», qui traduit l’idée d’être (littéralement) dans l’œuvre plutôt que devant, qualifie l’ensemble des œuvres réunies pour ce projet. Du latin immersio, qui signifie «plongée», l’«immersion» est définie par Le Petit Robert comme l’«action d’immerger, de plonger (dans un liquide, un milieu)», et par le Larousse comme le «fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d’origine». L’immersion est donc le résultat du franchissement d’un seuil, le passage d’un milieu – ou d’un état – à un autre.

    Au-delà de leurs différences esthétiques et conceptuelles, ces œuvres immersives sont des espaces autonomes enveloppants, artificiels ou inhabituels, qui suscitent une exacerbation et une désorientation des sens.

    Avec la présentation exceptionnelle de quatorze installations immersives – pour certaines reconstruites pour la première fois – cet événement réaffirme, à l’ère du virtuel, l’expérience corporelle et polysensorielle de l’art.

     

    Source et pour en voir plus :  https://www.mcba.ch/guide-visite-immersion/#:~:text=L%27exposition%20organisée%20au%20Musée,l%27œuvre%20d%27art.

     

    Il est difficile de photographier des sensations, voici juste quelques exemples des émotions sensorielles proposées 

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Ferdinand Spindel, « hole in home », 1966

    [trou dans la maison], une caverne en mousse rose. Le matériau synthétique mou, utilisé habituellement comme matériau de rembourrage, devient entre les mains de l’artiste à la fois objet artistique et enveloppe sécurisante dans laquelle les visiteuses et les visiteurs sont invités à se ressourcer.

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

    Judy Chicago, « Feather Room », 1966

    Feather Room offre une esthétique diffuse et mouvante, avec un matériau organique et aérien en opposition aux matériaux durs et aux formes anguleuses de la sculpture minimaliste qui l’occupait jusqu’alors. Les angles ne sont plus saillants, les plans ne sont plus réguliers: les traits de l’architecture sont devenus souples et flous, offrant à l’espace une apparence dilatée, un effet renforcé par la lumière continue et diffuse. Pour l’artiste, l’échelle immersive est importante en raison de son fort impact sur le public qui se trouve enveloppé de lumière et de plumes.

     

     Musée cantonal des beaux arts de Lausanne

     

    https://www.youtube.com/watch?v=GellQ4DRwhk

     

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  • Les souches oranges des Aulnes

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  • le coq rêve d'atteindre l'immensité

    le coq rêve d'atteindre l'immensité

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    La forêt est malade  Maladies cryptogamiques, attaques d'insectes, choc hydrique, les arbres se meurent. Parfois des coupes à blanc ont lieu pour éviter la propagation des maladies ou l'infestation des insectes. Mais que c'est triste. Combien d'années faudra t-il pour que la forêt redevienne ce qu'elle était..  Mais planter des arbres, est-ce une solution ?  Pratiquer la régénération naturelle des sols, ne serait ce pas plus judicieux ? 

     

     

     

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